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Coach à Bordeaux - Jean Louis ROUX -

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Coach à Bordeaux - Jean Louis ROUX -
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28 juillet 2010

10th International Narrative Therapy and

10th International Narrative Therapy and Community Work Conference

The 10th International Narrative Therapy and Community Work Conference is to be held in Salvador, Brazil 13th-15th July 2011. Start making plans now! Salvador is a fascinating place  and in July 2011 it will host a gathering of narrative therapists and community workers from around the globe. Many Brazilian practitioners are now engaging with narrative ideas in unique ways and we are so looking forward to this event.

Stay tuned  to this site for more information. We hope to see you there!

http://www.dulwichcentre.com.au/Brazil-papers-Portuguese.pdf

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27 mai 2010

Quelques mots des suiveurs d'histoire

Les Blancs changent sans arrêt le monde pour l'adapter à la vision fluctuante qu'ils ont de l'avenir. Les aborigènes mobilisent toute leur énergie mentale pour laisser le monde dans l'état où il était. En quoi cette conception est-elle inférieure ?

Bruce Chatwin

"Suiveurs de pistes...de saisons: leveurs de campements dans le petit vent de l'aube...O CHERCHEURS DE POINTS D'EAU SUR L'ÉCORCE DU MONDE!"

SAINT JOHN PERSE

12 janvier 2010

A propos du Thérapeute

Jean Louis ROUX–   Praticien en relation d’aide

Dans sa pratique de Praticien en relation d'aide, il s’inscrit dans une relation humaniste privilégiant la relation d’aide. Il se forme aux pratiques narratives depuis 2006 avec Michael White, Shona Russel et Shue Mann complétant ainsi son identité de praticien.

Praticien attentif et respectueux, il collabore avec ses clients dans la construction de sens et de nouveaux territoires du possible.

Son travail de praticien s’adresse aux particuliers et au monde des entreprises en leur permettant d’utiliser leurs compétences dans l’édification de nouvelles histoires porteuses de sens. Formé au coaching de groupe et d’équipe chez  Médiat coaching, Il introduit dans sa pratique de coaching les pratiques narratives comme des leviers révélateurs des histoires individuelles et de groupe. L’approche développée par Michael White et sa rencontre avec ce thérapeute influencent ses choix quand à sa pratique et sa posture d’accompagnement de ses clients. Son accompagnement des gens à vivre en dehors des influences qu’exerce la culture dominante, aide ses clients à quitter l’histoire validée par le corps social. C’est le sens donné à son accompagnement. Il est membre de l’association européenne de coaching

www.coachingpratnar.canalblog.comcrescendis@orange.fr 

8 janvier 2010

Contacter le Thérapeute

Coordonnées du cabinet :

Tél : 09 61 39 33 66 - 05 56 44 07 47
Fax :05 56 44 95 52
Portable : 06 07 13 26 78
jeanlouisrouxtherapeute@orange.fr

Adresse du cabinet :

61 rue Marc SANGNIER
33130 BEGLES/BORDEAUX

Ligne de tramway C - station Terres Neuves

Paris - sur rendez-vous uniquement

27 rue du Pont neuf
75001 PARIS

Tél : 09 61 39 33 66 - Métro Pont Neuf

18 décembre 2009

Démarche de socialisation des individus, des groupes

Les pratiques narratives comme accompagnement du projet d’identité sociale des personnes.

Mon champ d’intervention

Ma démarche a la volonté de s’inscrire dans une démarche collaborative. Je pense que l’immersion dans différents milieux offre la possibilité d’élargir les expériences du praticien dans son exercice.

La prise en compte des projets des personnes s’exprime dans les lieux qu’elles sont amenées à fréquenter. Rencontrer mes contemporains c’est pour moi aller au devant d’eux.

Le cabinet travaille suivant deux grands axes :

1 - Les séances de thérapie individuelles pour lesquelles les gens consultent.

Les séances individuelles ont pour objet un accompagnement des situations traumatiques, des situations où les personnes sont confrontées à la perte de sens de leur identité sociale, des situations de deuil que se soit la perte d’un proche ou de toute autre situation entrainant un deuil.

Cet accueil individuel est en lien avec un travail de reconstruction de sens, une resocialisation des personnes les plus éloignées des critères sociaux d’insertion.

Il s’agit ici de travailler des demandes formulées par des personnes en recherche d’un accompagnement thérapeutique.

2 – L’accompagnement des groupes

Les séances de groupe avec l’appui des pratiques narratives offrent aux gens l’occasion de raconter les récits de leur vie, mais aussi de leur rendre hommage. Les groupes et les communautés recréent leur histoire commune donnant du sens à leur action.

Les séances en groupe ont pour finalité de recréer du sens au travers d’histoires communes qui puissent être partagées et épaissies de sorte que les histoires individuelles deviennent porteuses du sens nécessaire à l’action des personnes.

Les outils mis en œuvre dans le travail avec les groupes sont issus des pratiques narratives dont les apports peuvent être significatifs pour des groupes, des communautés et pour les individus qui les composent.

L’entreprise

Les aspects psychosociaux de l’entreprise (la souffrance au travail) sont pris en compte. Ils peuvent être accompagnés en groupe de travail ou individuellement. Dans l’entreprise l’accompagnement des personnes peut se faire en groupe au travers d’un travail de construction d’histoire commune à partir des histoires de chacune des personnes composant le groupe.

Les pratiques narratives sont à l’origine de la notion de thérapeute sociopolitique

La normalisation des discours, la manière dont le « pouvoir moderne » façonne les histoires des personnes et les mets en capacité de s’auto contrôler et formate les citoyens dans un comportement d’auto contrôle de leurs faits et gestes ainsi que ceux de leurs contemporains.

Les personnes sont soumises et se soumettent elles-mêmes et soumettent les autres.

Les praticiens narratifs considèrent que le pouvoir moderne interagit en stigmatisant les gens dans des comportements qui vont s’avérer limitant quant il s’agira pour les personnes d’agir pour construire leur identité sociale au travers d’un projet social. Les individus construisent des orientations choisies pour donner à leur vie du « sens ».

Tout au long de sa carrière Michael White part du constat suivant :

Les gens qui viennent le consulter sont saturés par le problème. Les pratiques narratives vont considérer que la personne est la personne et que le problème est le problème.

Devant cette hypothèse, la saturation engendrée par le problème occulte toute capacité des personnes à entrevoir ou voir les possibles. L’externalisation du problème ouvre les nouvelles voies qui s’offrent à l’individu pour développer de nouveaux territoires du possible et les aider à reconstruire leur identité.

Les personnes qui nous consultent doivent pouvoir choisir le sens qu’ils donnent à leur vie, c’est-à-dire donner du sens à leur action.

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18 décembre 2009

Un thérapeute travaillant avec les pratiques narratives

Un thérapeute travaillant avec les pratiques narratives,

c’est quoi?

C’est un thérapeute qui pense que l’être humain est un être d’interprétation, un fabriquant de sens. Ainsi ce que nous racontons sur nous-mêmes a une influence directe, tangible sur notre vie.

C’est un thérapeute qui est respectueux des savoirs et compétences des gens quand il s’agit de comprendre et de conduire leur propre vie.

Les questions que vous vous posez sur vous-mêmes sont le fait d’une saturation de votre histoire par des problèmes qui ne vous appartiennent pas.

La thérapie narrative n’est jamais la thérapie des personnes mais des récits qui façonnent la vie des gens.

La thérapie narrative est une Co-construction avec le thérapeute.

Vous n’êtes jamais réduit à la nature de votre problème, vous n’êtes pas le problème

Vous mettez en  lumière des évènements uniques vous offrant l’occasion de donner la parole à vos intentions avec ce à quoi vous accordez de la valeur dans la vie, le problème est le problème.

Votre démarche vous permet d’être auteur de votre vie et de vos relations. Vous êtes de nouveau acteur et responsable de votre vie.

.C’est la collaboration sociale dans le développement de la signification du mot qui est essentielle pour arriver à l’initiative personnelle et à l’action responsable. « Michael White »

5 décembre 2008

Voyage au Pays des Pratiques Narratives

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Si je publie ce post avec autant de retard, c'est que mon histoire à mis du temps à cheminer depuis ce mois de novembre 2008.  Après un premier hiver à avoir reçu des clients, il m'est apparu que l'affirmation de mon identité prenait corps dans le paysage de l'action que je construit depuis plusieurs années.
Me voilà enfin capable d'écrire et de contribuer, au-delà de mon travail quotidien aux réflexions de toute une communauté d'auteurs.

Je disais donc, les voyages forment la jeunesse et les thérapeutes. Faire un voyage vers un lieu fusse de l'autre coté du monde reste une aventure. Rencontrer 350 praticiens, des thérapeutes de différents pays est une chose rassurante. Trois semaines en Australie, sur le lieu même de travail de Michael WHITE est une chose émouvante.

Ces trois jours de conférence font apparaître la forte implantation des pratiques narratives en Australie et dans toute l'Asie, en Chine, en Amérique du sud et du Nord, mais aussi en Afrique du sud et bien d'autres pays. L'Europe était présente, elle l'était représentée certes par trois praticiens Français dont je faisais partie, mais aussi d'anglais, de Danois, d'autrichien.

Ce type de réunion est toujours un moment où vous pouvez constater le travail réalisé par une communauté de thérapeutes au travers du monde, mais aussi avoir un ressentis au travers des histoires et des personnes  qu'ils prennent en charge de l'efficience d'une pratique. Ce qui était particulièrement intéressant était la somme des exposés fait par cette communauté de praticien qui dans leur collaboration avec Michael WHITE ont su développer des assemblages qui viennent compléter les travaux de Michael WHITE dans de nombreux domaines et particulièrement avec les enfants.

Ce que j'ai aussi compris, c'est l'importance de la formation, mais aussi la nécessité d'excercer les  pratiques narratives pour en acquérir l'art du questionnement et du contre pied cherchant à faire prendre conscience au client de la raison de sa résistance à une problématique exposée lors de nos rencontres.

Ce que j'ai compris c'est combien l'échange est important. L'échange qui donne à expérimenter sur lequel on peut construire encore après avoir exploré de nouvelles hypothèses de questionnement et de situation.

Ce qui m'a marqué, c'est également la réflexion après chaque séance. En effet en visualisant des séances de thérapie de Michael WHITE une question me venait systématiquement. Quel est le ressort qui contribue à la progression des séances et des questions utilisées dans le cadre de ces échanges?

J'ai compris que les histoires sont un élément essentiel du travail de réflexion du praticien narratif. S'écouter et se regarder, poser des questions m'est apparue comme une part importante du travail post séance. En réalité, j'ai pris conscience de cela, lorsque j'ai visité le Dulwich Center et particulièrement le bureau et les équipements mis en place par Michael WHITE dans la salle ou il accueillait ses clients et les familles qui venaient le voir. Il y a ce que Michael et d'autres nous donnent généreusement à lire, mais il y a surtout, nous en tant que praticien à nous observer dans notre questionnement et notre posture.

Bègles le 08 novembre 2009


28 mai 2008

Quelques hypothèses de Michael White & David Epston

  • Les clients et le praticien partagent plus de similitudes que de différences comme êtres humains.
  • Les clients sont des gens ordinaires menant une vie ordinaire qui malheuresement recontrent des expériences de vie difficiles et inhabituelles.
  • Quand les personnes ou les familles demandent une consultation, c'est parce qu'elles sont confrontées a un dilemme pour lequel la forme de soutien nécessaire à sa résolution ne leur est pas disponible.
  • Les personnes et les familles possèdent toujours plus d'expérience réelle en eux pour résoudre le problème que tout autre personne.
  • Au plus profond d'eux-mêmes, les personnes et les familles ne souhaitent pas se faire du mal ou en faire aux autres.
  • Le praticien ne peut comprendre le langage d'une personne tant qu'il ne peut en discuter avec lui.
  • Le changement est toujours possible.
  • Le client souhaite toujours se libérer du problème.
  • Le praticien ne connaît pas vraiment ce que le client doit faire pour résoudre son problème.
  • Les problèmes sont considérés comme séparés des personnes. Cela aide les clients à se mobiliser davantage face à leurs problèmes.
28 mai 2008

Travailler "son histoire personnelle" avec les Pratiques Narratives

Lorsque que les gens viennent travailler avec un professionnel de l'accompagnement, ils présentent souvent des récits de leur vie et de leurs difficultés saturés de problèmes et dessinent des territoires ternes, monotones et dépourvus d'ouvertures vers les possibilités. En de telles circonstances, les gens tirent habituellement des conclusions étroites et négatives sur leurs compétences à réssoudre les problèmes.

Dans les entretiens guidés par la méthode narrative, les histoires négligées et les compétences des gens sont richement mises à jour. Cela établit des fondations solides pour la résolution des situations difficiles présentées.

Travailler avec un professionnel de l'accompagnement utilisant les Pratiques Narratives:

Quand l'histoire individuelle de chacun prend toute la place et quelle devient la source et la saturation des problèmes, il reste possible de revisiter votre histoire au travers d'une nouvelle narration de cette même histoire.

Pour faire cela, je vous accompagne tout au long de la narration de votre histoire et échafaude avec vous une nouvelle histoire.

La démarche d'accompagnement vous aide à comprendre en quoi l'histoire que vous racontez vous appartient ou pas dans la forme où vous la racontez.

Me contacter, obtenir des renseignements : 05 56 44 07 47 - o6 07 13 26 78

28 mai 2008

A propos de Michael White

Michael White a initié une forme particulière d’accompagnement basée sur les analogies topologique et textuelle (cartes et récits...) quand d’autres lui préféraient l'analogie mécaniste (outils et techniques pour réparer des systèmes qui dysfonctionnent...) ou l'analogie des sciences sociales (le jeu, déplacements pour élaborer une stratégie......) ou encore l'analogie biologique (un système vivant, les principes d’énaction, d’autopoièse...).

Les cartes qu’il a dessinées aidaient à découvrir des chemins et lieux exotiques de la vie du client, qui se différenciaient de leur récit dominant, celui qu’ils se racontent et qui valide jour après jour leurs croyances. Ce récit dominant occulte autres histoires (contre-exemples) reliées à d’autres événements eux-mêmes exclus car invalidant l’histoire dominante. Cette navigation en collaboration que Michael White proposait à ses clients leur permettaient d’envisager leur récit de vie comme peuplée d’événements « uniques » existants et oubliés, différente que celle qu’ils se racontaient jusqu’à maintenant.

Privilégier le multiple, les plis, les accrocs, les événements de vie comme aurait pu le dire Deleuze, plutôt que de privilégier une vie bien repassée. A passer et repasser sa vie de la même façon, dans le même sens, elle devient convenue, plate, sans relief. Alors que tant de récits différents sont possibles. Quitter l’histoire dominante validée par le corps social, pauvre en informations (je suis incapable de..., je suis nul, ...) en d’autres termes le récit soutenu par la norme (normal/anormal). Privilégier l’histoire préférée, riche de détails, celle issue des envies, rêves, espoirs engagements du client.

Source Médiat Coaching - isabelle Laplante - Nicolas De Beer - www.mediat-coaching.com

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